
EuroBuzz 2014 : Premier jour
Grandes lignes de la journée d'ouverture du meeting 2014 du réseau européen de la maladie de Huntington à Barcelone

Retrouvez Jeff et Ed qui tweetent en direct depuis Barcelone sur la confĂ©rence de l’European Huntington’s Disease Network (EHDN) 2014 ! De la science passionnante nous attend !
Prof. Berhard Landwehrmeyer ouvre la conférence du réseau européen de la Maladie de Huntington 2014.
EHDN est un immense rĂ©seau de scientifiques, cliniciens et de membres de familles concernĂ©s par la maladie de Huntington Ă travers l’Europe. Cette annĂ©e est le 10ème anniversaire de l’EHDN !

La journée commence avec une conférence donnée par le Prof. Sarah Tabrizi qui nous rappelle que nous devons surtout comprendre la MH chez les humains, pas seulement chez les mouches et les souris.
Les essais cliniques d’observation comme PREDICT-HD, TRACK-HD et ENROLL-HD nous aident Ă comprendre comment les symptĂ´mes progressent chez les personnes atteintes par la MH.
Tabrizi : Le but est d’intervenir assez tĂ´t pour prĂ©venir complètement Huntington. « J’espère atteindre ce but au cours de ma vie professionnelle. »
Les Ă©tudes d’observation clinique ont rĂ©vĂ©lĂ© que la rĂ©duction de parties très spĂ©cifiques du cerveau prĂ©disent quand les personnes dĂ©velopperont les symptĂ´mes de la MH.
Tabrizi : Mais d’autres changements observables chez les personnes qui portent la mutation, notamment un niveau Ă©levĂ© d’apathie, prĂ©disent le dĂ©but des symptĂ´mes.
Tabrizi : Les porteurs de la mutation, mĂŞme avant d’avoir des symptĂ´mes, ont des difficultĂ©s Ă reconnaitre les Ă©motions faciales nĂ©gatives.
Tabrizi : Nous ne devrions pas ignorer les symptĂ´mes comme l’apathie et la difficultĂ© Ă reconnaitre les Ă©motions du fait qu’ils peuvent causer des problèmes majeurs.
Tabrizi : Une étude appelée TRACK-ON a été conçue pour étudier comment les différentes parties du cerveau communiquent entre elles vis à vis de la MH.
Tabrizi : Le ‘diagramme de connexions’ montre l’altĂ©ration des connexions entre les rĂ©gions du cerveau qui sont vulnĂ©rables dans la MH. Cela pourrait aider Ă expliquer les symptĂ´mes observĂ©s chez les patients.
Tabrizi : Grâce Ă des maths de haut niveau, des chercheurs ont examinĂ© les donnĂ©es TRACK-ON d’imagerie de cerveaux et ont montrĂ© que le nombre de connexions est rĂ©duit dans un cerveau MH.
Tabrizi : De nouvelles donnĂ©es suggèrent que lorsqu’une partie du cerveau ‘tombe malade’, d’autres rĂ©gions augmentent leur activitĂ© afin de compenser.
Tabrizi : Une question majeure à laquelle il faut encore répondre est : Pourquoi certains patients atteints par la maladie de Huntington ont une progression plus ou moins rapide ?
Prof. Roger Barker de l’UniversitĂ© de Cambridge fait une rĂ©capitulation des modèles animaux utilisĂ©s pour la MH.
Barker : Les modèles animaux sont utiles mais il ne faut pas oublier qu’ils ne sont pas humains lorsque l’on interprète ce qu’ils nous disent.
Barker: Si vous n’aviez qu’une chose Ă retenir de ma prĂ©sentation, c’est que « les animaux ne peuvent pas parler ! ». Donc, ils ne peuvent pas dĂ©crire leurs symptĂ´mes comme le font les patients de la MH.
Barker : Pour qu’ils montrent des signes de la MH, les modèles animaux ont de très nombreuses ‘rĂ©pĂ©titions de CAG’, certains bien plus grandes que celles que l’on voit chez de rĂ©els patients.
Barker a créé une piscine en réalité augmentée afin de pouvoir reproduire chez les patients, un test communément utilisé chez les souris.
Barker : La maladie de Huntington est une pathogénie humaine, mais comparer les modèles animaux aux humains peut nous aider à mieux comprendre la MH.
Bernhard Landwehrmeyer de nouveau, fait le point sur l’Ă©tude ENROLL-HD (http://enroll-hd.org).
Landwehrmeyer : ENROLL-HD a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© parce que ‘nous avons besoin de rapiditĂ©’.
BL : ENROLL-HD est une Ă©tude d’ampleur mondiale avec de grandes ambitions, qui a pour but d’Ă©tudier 25 000 personnes !
BL : Pourquoi certaines personnes dĂ©clarent leurs symptĂ´mes de la MH tĂ´t alors que pour d’autres ils commencent tard ? Quels facteurs peuvent expliquer cela ?
BL : Une Ă©tude de plus de 4 000 volontaires effectuĂ©e sur plusieurs annĂ©es suggère l’existence d’un nouveau gène qui pourrait modifier l’âge du dĂ©but des symptĂ´mes.
BL : Ces rĂ©sultats expliquent pourquoi nous avons besoin d’un Ă©norme nombre de volontaires pour les Ă©tudes d’observation de la MH comme ENROLL-HD.
BL : ENROLL-HD a 102 sites actifs dans le monde, avec plus de 3 000 participants.
BL : Pas besoin d’effectuer un test de la MH pour participer Ă l’Ă©tude ENROLL-HD, tout le monde peut participer.
BL : Nous espĂ©rons que le grand group de patients de l’Ă©tude ENROLL-HD pourra rapidement aider Ă remplir les Ă©tudes de traitements avec les bons participants.
L’excitation pour la prochaine session sur les « modificateurs » de la MH monte : la collaboration internationale sur les Modificateurs GĂ©nĂ©tiques a fait une grande dĂ©couverte.
Le premier interlocuteur, Jan Frich qui vient d’Oslo, parle des modificateurs environnementaux de la MH.
Frich : Un modificateur environnemental est tout ce qu’une personne peut faire, rencontrer, et qui altère la façon dont la MH l’affecte.
Faire de l’exercice, fumer, le rĂ©gime alimentaire, la pollution et le mĂ©tier sont des exemples de ‘modificateurs environnementaux’ potentiels.
Frich a rĂ©alisĂ© une Ă©tude d’un an qui consistait Ă faire faire, de manière intense, des activitĂ©s quotidiennes afin d’amĂ©liorer des symptĂ´mes de la MH.
Ce qu’il faut retenir : L’activitĂ© physique aide de nombreux aspects de la maladie de Huntington.
Jong-Min Lee, de l’hĂ´pital gĂ©nĂ©ral du Massachusetts, parle au nom du groupe international. Il prĂ©sente les travaux qui ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur les modificateurs gĂ©nĂ©tiques.
Les diffĂ©rences gĂ©nĂ©tiques entre les gens peuvent affecter le moment oĂą les symptĂ´mes vont commencer. On appelle cela les ‘modificateurs gĂ©nĂ©tiques’.
Le plus gros ‘modificateur gĂ©nĂ©tique’ est le nombre de CAG du gène de la MH lui-mĂŞme. Mais des diffĂ©rences dans d’autres gènes pourraient aussi affecter la MH.
Si l’on arrive Ă trouver quels sont ces gènes, ils pourraient nous indiquer oĂą cibler nos efforts de dĂ©veloppement d’un traitement.
«Tabrizi : Le but est d’intervenir assez tĂ´t pour empĂŞcher complètement la maladie. J’espère achever ceci au cours de ma carrière professionnelle.»
Les progrès en technologie génétique nous permettent de chercher des différences entre des milliers de personnes afin de voir ce qui influence la vitesse de la MH.
C’est grâce Ă des efforts comme les Ă©tudes EHDN Registry que nous avons assez d’Ă©chantillons et de donnĂ©es pour faire ces importantes Ă©tudes de grande ampleur.
Une si grande étude se fait grâce à de nombreuses années de travail intense : cette étude a commencé en 2008 et examinait 8 millions de différences génétiques !
Il est intéressant de noter que les chercheurs ont trouvé des modificateurs qui sont associés au commencement de la maladie plus ou moins tôt.
Quand vous testez 8 millions de variations génétiques chez plus de 4000 personnes, les maths deviennent tout de suite plus compliquées !!
Toutes les informations générées seront disponibles gratuitement pour les chercheurs du monde entier.
Leslie Jones de l’universitĂ© de Cardiff prĂ©sente des donnĂ©es intĂ©ressantes sur les modificateurs gĂ©nĂ©tiques.
Jones parle des efforts faits afin de comprendre comment les changements de tracés génétiques modifient en fait, la façon dont les gènes fonctionnent.
Les nouveaux rĂ©sultats gĂ©nĂ©tiques suggèrent que quelque chose ne marche pas correctement lors de la relecture de l’ADN que font les cellules afin de rester en forme.
C’est une bonne nouvelle puisque des travaux prĂ©cĂ©demment rĂ©alisĂ©s chez les souris suggèrent que ce processus de relecture de l’ADN est important dans le cadre de la MH.
Ed : La session scientifique suivante est sur la ‘kynurĂ©nine mono-oxygĂ©nase’ (KMO).
Ed : La KMO est un machine molĂ©culaire qui dĂ©termine l’Ă©quilibre entre les molĂ©cules chimiques nuisibles et utiles dans le cerveau.
Ed : Il a été montré que la KMO est impliquée dans la maladie de Huntington chez les levures, les mouches et les souris.
Ed : Bloquer l’activitĂ© de la KMO devrait protĂ©ger les cerveaux atteints par la MH de certains dommages.
Ed : Vous pouvez en apprendre plus sur la KMO et de précédents succès avec un traitement inhibiteur de la KMO ici : http://fr.hdbuzz.net/032
Ed : Laci Mrzljak de la fondation CHDI présente les derniers efforts de développement de leur traitement inhibiteur de la KMO, appelé CHDI246.
Mrzljak : Traiter des souris avec CHDI246 renforce les connexions entre les cellules du cerveau et les aide Ă fonctionner correctement.
Mrzljak : Le traitement par CHDI246 amĂ©liore aussi l’activation cĂ©rĂ©brale lorsque l’on fait un scan IRM de souris atteintes de la MH.
Letitia Toledo-Sherman, ‘crĂ©atrice de mĂ©dicaments’ Ă CHDI, continue l’histoire de la KMO.
LTS : CHDI a développé de nouvelles méthodes de mesure de molécules chimiques liées à la KMO dans le fluide céphalo-rachidien des patients.
Ed : La chef du service mĂ©dical Ă CHDI, Christina Sampaio parle maintenant des Ă©tapes Ă rĂ©aliser pour amener CHDI246 jusqu’aux essais cliniques.
Sampaio : Pour amener CHDI246 en essais cliniques, nous avons besoin de biomarqueurs, c’est-Ă -dire de façons de voir si le traitement fonctionne.
Sampaio : CHDI est en train de mettre en place un grand projet de collecte de fluide cĂ©phalo-rachidien, dans le but d’effectuer des mesures sur l’Ă©quilibre entre molĂ©cules chimiques nocives et celles qui sont utiles…
Sampaio : …Ce projet sera menĂ© par un jeune et courageux chercheur nommĂ© Ed Wild.
Sampaio : CHDI a des projets dĂ©taillĂ©s pour mener CHDI aux essais cliniques et montrer s’il marche.
Alexandra Durr de Paris : Entre 1992 et 2013, 1 705 tests prĂ©dictifs de la MH ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s Ă l’hĂ´pital de la PitiĂ©-SalpĂŞtrière.
Durr : Seuls 5 Ă 25% des personnes Ă risque font le test.
Durr : Parmi les personnes qui font le test, 63% vont jusqu’au bout du processus et reçoivent leur rĂ©sultat.
Durr : Depuis 2000, il n’y a pas d’augmentation notable de demande de test dans cet hĂ´pital, malgrĂ© le fait que plus d’information soit disponible.
Durr : En moyenne, l’âge Ă laquelle le test est demandĂ© est d’environ 35 ans, et très rarement par de très jeunes patients.
Durr : Environ 70 Ă 80% des patients qui obtiennent leur rĂ©sultat de test disent qu’ils font plus attention Ă l’apparition de possibles symptĂ´mes de la MH.
Durr : Nous devrions essayer de faire des essais cliniques sur des patients prĂ©-symptĂ´matiques qui viseraient Ă empĂŞcher l’apparition de symptĂ´mes.
Elizabeth McCusker se demande si des critères de diagnostiques de la maladie devraient être modifiés.
McCusker : Il n’y a pas de moyen formel qui permet de dĂ©terminer le dĂ©but de la MH, mais plutĂ´t des pratiques cliniques qui se sont dĂ©veloppĂ©es au cours des annĂ©es.
McCusker : Le diagnostique de la maladie de Huntington est fait dans un environnement complexe, avec des possibles conséquences sur la famille, sociales ou autres.
McCusker : Du point de vue de la recherche, le diagnostique formel de la maladie pourrait bien arriver trop tard.
McCusker : Le diagnostique de la maladie aide-t-il les patients ? Il y a au moins quelques avantages dont les patients peuvent bĂ©nĂ©ficier lorsqu’ils ont un diagnostique clair.

McCusker : Tous les porteurs de la mutation qui ont été étudiés avant que les symptômes apparaissent, font partie des 5 à 20% des patients se faisant tester.
McCusker : Les problèmes qui se posent lors d’un diagnostique de la MH sont complexes et quelque peu unique Ă chaque situation.
David Craufurd s’adresse Ă l’assemblĂ©e sur la question de si les patients atteints par la MH, ou bien les porteurs prĂ©-symptomatiques devraient effectuer des bilans de santĂ©.
Craufurd : Les symptĂ´mes comportementaux sont souvent plus bouleversants que les symptĂ´mes moteurs et cognitifs pour les familles.
Craufurd : Les traitements symptomatiques pour la MH se sont dramatiquement amĂ©liorĂ©s lors des dernières dizaines d’annĂ©es.
Craufurd : Les symptĂ´mes de la MH sont une ‘cible en mouvement’ parce que, chez un individu donnĂ©, les symptĂ´mes changent Ă mesure que la maladie progresse.
Craufurd : Traiter la maladie de Huntington peut ĂŞtre difficile, en partie parce que les patients peuvent ne pas ĂŞtre conscients de leurs propres symptĂ´mes ou bien ĂŞtre apathiques.
Craufurd : Nous devrions avoir un programme pour les patients atteints de la MH qui aiderait Ă s’assurer qu’ils reçoivent les traitements nĂ©cessaires Ă leurs symptĂ´mes.
Craufurd : Les porteurs de la mutation devraient-ils voir des professionnels médicaux régulièrement ?
Craufurd : Certains symptĂ´mes, comme l’irritabilitĂ© et la dĂ©pression, ont l’air d’apparaĂ®tre longtemps avant le diagnostique formel de la MH.
Craufurd : Ils pourraient trouver des inconvénients, aussi bien que des avantages, à être suivi régulièrement par des cliniques MH.
Craufurd : Certaines personnes font dace Ă la maladie par le dĂ©ni, ils Ă©vitent d’y penser, et ces personnes-lĂ pourraient avoir des difficultĂ©s Ă se trouver en clinique spĂ©cialisĂ©e.
Ceci dit, Craufurd pense que c’est bĂ©nĂ©fique pour les porteurs de la mutation, aussi bien que pour les patients atteints de la MH, d’ĂŞtre suivis en clinique.
La dernière session de la journĂ©e se concentre sur le dĂ©veloppement de ‘biomarqueurs’ pour la recherche sur la MH.
Les biomarqueurs sont des caractéristiques qui peuvent être quantifiés chez les gens, comme par exemple par imagerie du cerveau ou des marqueurs sanguins.
Nous aimerions avoir des choses facilement mesurables chez les gens, qui nous permettraient de suivre la progression de la maladie avec plus de précision.
Après des années de travail, des études comme TRACK et PREDICT ont fourni un grand nombre de potentiels biomarqueurs de la MH.
Blair Leavitt discute de la façon dont TRACK et PREDICT nous donnent dĂ©jĂ des infos sur le dĂ©veloppement d’essais de nouveaux traitement.
Leavitt : Si nous suivons des patients atteints de la MH pendant au moins 2 ans, il y a des changements clairs qui peuvent nous informer sur les essais cliniques.
Leavitt s’intĂ©resse Ă une technique appelĂ©e spectroscopie par rĂ©sonance magnĂ©tique, qui mesure les niveaux de molĂ©cules spĂ©cifiques dans le cerveau.
L’Ă©quipe de Leavitt dĂ©veloppe ces techniques dans le but d’observer ces molĂ©cules dans les cerveaux de patients de la MH.
Des molĂ©cules cĂ©rĂ©brales spĂ©cifiques voient leur niveau augmenter au fil du temps, alors que d’autres, au contraire, diminuent.
Certains de ces changements sont mĂŞme observĂ©s dans les cerveaux de porteurs de la mutation qui n’ont pas encore dĂ©clarĂ© les symptĂ´mes.
L’Ă©quipe de Leavitt a aussi observĂ© les taux de certaines molĂ©cules du sang, et qui indiquent une inflammation dans la MH.
Leavitt : Les biomarqueurs proposĂ©s devraient ĂŞtre mesurĂ©s par plus d’un labo, afin de s’assurer que les mesures sont reproductibles avant d’ĂŞtre utilisĂ©es en essai clinique.
Pour finir, Beth Borowsky, de la fondation CHDI, revient sur les dĂ©fis posĂ©s par l’usage des biomarqueurs en essai clinique.
BB : Le but des biomarqueurs, c’est que nous fournir des informations utiles en cliniques, que ce soit Ă propos de la maladie, ou alors Ă propos des effets d’un traitement.
BB : Certains biomarqueurs montrent comment la maladie progresse au cours du temps.
BB : D’autres vous permettent de mesurer l’effet d’un traitement, comme par exemple, est-ce que le traitement agit Ă l’endroit voulu ?
BB : Le développement de traitement est un processus très long et coûteux, même après que le travail de base en labo ait été réalisé.
BB : Chaque essai peut se terminer de 3 manières différentes : positivement, négativement ou bien de façon peu concluante. Comment pouvons-nous éviter ce dernier cas ?
BB : Grâce Ă des annĂ©es d’Ă©tude des patients de la MH, nous avons dorĂ©navant un nombre impressionnant d’outils Ă notre disposition. Lesquels sont les plus utiles ?
BB : Dans le cas d’autres maladies, des choses que l’on croyait ĂŞtre des biomarqueurs se sont rĂ©vĂ©lĂ©s ne pas fonctionner en essai clinique. Nous devons ĂŞtre prudents.
BB : Parmi les biomarqueurs proposĂ©s pour la MH, nous ne sauront pas lesquels nous informent bien de la progression de la maladie avant d’avoir fait plus d’essais cliniques.
BB : La validation de biomarqueurs est un peu un problème de l’oeuf et de la poule : nous ne pouvons pas prouver qu’ils marchent avant d’avoir des traitements qui fonctionnent !
BB : Des essais en cours, ou qui auront bientĂ´t lieu, devraient inclure le tests de biomarqueurs dans leurs projets.
BB : Les essais de silençage génique, qui reposent sur une distribution invasive, ont besoin de bons marqueurs pour prouver que les traitements sont bien arrivés à destination.
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